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SOO BAHK DO - Moo Duk Kwan










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 Bienvenue sur le blog Shiwol do-jang !


Shiwol do-jang est un espace mental construit en France à partir de la pratique de l'art martial Soo Bahk Do -Moo Duk Kwan. 
Le Soo Bahk Do est un art martial coréen, façonné par la culture et la tradition coréennes. Si certaines de ses techniques remontent à plusieurs centaines d'années, l'art dans sa forme moderne naît en 1945. La Corée recouvre tout juste sa liberté après 30 ans d'occupation japonaise lorsque Hwang Kee fonde son école Moo Duk Kwan à Séoul, d'où est issu le Soo Bahk Do.

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La pratique du Soo Bahk Do repose sur les principes de respect du vivant ("hwal" en coréen) et d'harmonie nécessaire entre l'humain et la nature. Sont également considérées comme fondamentales la cohésion du groupe et la solidarité. Enfin, comme le veut l'empreinte confucéenne, la relation entre l'enseignant et l'élève étudiant est considérée comme étant de la plus haute valeur. On trouvera aussi toutes sortes de textes, réflexions, digressions comme autant de petites sentiers cheminant dans l'art martial et au-delà.

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Articles RÉCents

23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 19:46

Samedi 21 février dernier, le Grand-Maître, H.C Hwang s'est déplacé à Danburry, dans le do-jang de Maître Choi Eui-Sun pour animer un stage auquel ont assisté 70 élèves venus de la région (dite "région 1") et au-delà.
A cette occasion, Maître Choi a reçu son 7ème dan, qu'il avait passé en Corée au mois d'octobre (Shiwol do-jang y était!).
D'autre part, Jakob et Anthony, deux jeunes élèves de Handol martial arts, que nous avons entraînés cet été lors de notre séjour dans le Connecticut, ont reçu leur 1er dan.

Félicitations !


Nos deux promus, en récréation cet été :

1. Jakob à l'attaque, tandis que Anthony, dans la plus pure tradition baseball se prépare à "batter" tout ce qui bouge.

2. Jakob a réussi à destabiliser Anthony et commence à lui taper franchement dessus.

3. Devant la brutalité des débats, je propose au bon Jakob de prendre la pose, ce qu'il accepte à la plus grande satisfaction de Anthony
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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 19:15

Le mot Carnaval vient d’Italie mais a conservé son étymologie latine : « carnis levare », c’est à dire « enlever, ôter la viande, la chair ».

Comme tant d’autres fêtes, c’est une  récupération par le christianisme de très anciens cultes dont les  Lupercales romaines  et les Saturnales.

Chaque année le 15 février, les Luperques, vêtus seulement des peaux des boucs sacrifiés, couraient à travers la ville en frappant avec des lanières de peaux de boucs tous ceux qu’ils rencontraient notamment les femmes.


Ces Lupercales, assurant le départ d’une nouvelle année, symbolisaient l’intrusion du monde sauvage dans le monde civilisé, celle du désordre dans la vie réglée, celle du monde des morts dans celui des vivants.


Le masque, le déguisement, assurent l’anonymat de l’individu qui se fond dans le groupe et légitime ainsi ses actions.
Les déguisements marquent également une rupture avec le quotidien ; en adoptant un masque, l’homme possède un nouveau rôle ; son comportement change.


Le Carnaval a une utilité sociale qui est d’assurer la bonne marche de la société locale.
Pour quelques heures, la hiérarchie est renversée, toutes les contraintes qui s’exercent dans l’année sont rejetées, cela sert en fait de « soupape de sécurité ».Tout rentre dans l’ordre les jours suivants.

.






Merci
à Mme Lacrépinière pour les crêpes
à Mme Nezeys pour le gâteau au chocolat
et
à Xiao Shan (bien sûr) pour les photos
Nous remercions également Maître Boussalaa qui nous a soufflé l'idée du grimage, et Maître Zouraris qui nous a montré quelques techniques de sabre.

Nous empruntons les propos sur le carnaval au lien suivant :
http://pedagogie.ac-toulouse.fr/culture/religieux/carnaval.htm


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21 février 2009 6 21 /02 /février /2009 11:45

Ce qui compte, ce n'est pas ce que l'on obtient, ou fait, mais de quelle manière on le fait, par quel processus on passe pour y arriver.
C'est en substance ce que répète régulièrement le Kwan Jang Nim, H.C Hwang, notamment avec sa petite fable du cookie. Ceci vaut pour n'importe quel acte, mais peut être compris aussi comme une métaphore technique. Au Soo Bahk Do, il y a un trajet bien défini pour exécuter chaque technique ; c'est le sens d'un travail décomposé par étape.
 Au niveau de l'action, un protocole régit les comportements et attitudes à adopter dans le cadre du Moo Duk Kwan. En digne école coréenne, nécessairement influencée par le confucianisme, il y a dans le Moo Duk Kwan une tentative pour réglementer les moeurs. En ce sens, l'instauration d'un "comité des rites", statuant sur la question de savoir si les choses ont été faites ou dites comme il se doit, ne serait pas totalement stupide.
Ces considérations nous éloignent un peu de notre objet, le stage qui vient de se dérouler. 10 élèves, des totalement novices aux 7ème Gup, s sont retrouvés chaque matin pendant 1h30 pour travailler dans la continuité. Pas de doute que de tels stages permettent les progrès les plus nets.

Chaque jour, 20 minutes de discussion étaient consacrées à la compréhension (ou aux difficultés à comprendre) les notions de base du Soo Bahk Do.
Ci-dessous, les notes prises au tableau chaque matin. Et comme il se doit, c'est en manière de processus que ces discussions se déroulaient.

Jour 1.
Définition du Soo Bahk Do par les élèves "anciens" à destination de ceux n'ayant jamais pratiqué.


Jour 2.
Au Soo Bahk Do, comment on pense ?
Examen de la première notion "courage", et exemples des situations où il en faut.

Jour 3.
Au Soo Bahk Do, comment on pense ?
Patience et concentration, pourquoi il en faut. Essai de définition par les élèves de ce que c'est que la concentration
.


Jour 4.
Au Soo Bahk Do, comment on pense ?
Honnêteté et modestie. Tentative de définition.



A la fin du stage, nous devions nous rendre à l'évidence que le temps manquait pour aller au bout des 8 notions. Rendez-vous donc au stage de Pâques.



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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 23:44
En allant au do-jang ce matin, sur un panneau publicitaire :
" La France avance, Renault accélère ".
Ceci est par excellence une publicité de "l'ère sarkoziste", caquetant des cocoricos pour faire croire qu'on existe. Un style bien vulgaire, où l'on place sur le même plan une marque de bagnole avec le pays lui-même. Non, je n'achète pas Renault, (j'aime le style italien Vespa, même par 0 degré) et surtout pas avec ce genre de slogan grotesque, cela signifie-t-il que je vais perdre la nationalité française ?
Nouvelle question, adressée aux 2 millions de manifestants du jeudi 29 janvier : si l'on pense, si l'on sent que la France recule de toutes parts, alors faut-il en déduire que Renault cale ? Vendez illico vos Renault et marchons à pied, roulons à vélo, ou à 5 sur des mobylettes!

Deux jours plus tôt, on pouvait lire ici et là qu'un député bien de chez nous, et bien dans le style franchouillard qui donne envie de perdre sa nationalité, voulait rendre obligatoire le chant de la Marseillaise pour les sportifs sous peine de sanction. En 2001, le plus renommé des quotidiens nationaux l'avait crié haut et fort : "nous sommes tous américains". Ce que cela dit aujourd'hui c'est : "nous aurons à être français comme les américains sont américains, ou nous disparaîtrons". Bien, encore une preuve que la France avance.
Notre style, il me semble, c'était plutôt d'être français discrètement, c'est-à-dire, par l'intériorité (le domaine des choses qui ne se voient pas, comme on dit dans le Moo Duk Kwan) : par la langue, par les lettres, par les arts, par le goût, plutôt qu'en hissant un drapeau ou en chantant debout devant la télé.
Voici venu le temps où il faut donner des signes. Montrer que vous êtes français. Et c'est là où les patriotes doivent de toute urgence fabriquer une machine de guerre contre les chauvins. Un patriote de France n'a pas à donner des preuves, faire des signes, il sait ce qu'il a constitué, à qui il doit d'être ce qu'il est, et il sait aussi qu'il est peu de chose et pour peu de temps : c'est pour ça qu'il est prêt à le défendre  contre vents et marées.
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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 23:37
Le jeudi 12 février prochain, à la Maison des jeunes de St-Médard, Shiwol do-jang invite : entraînement, démonstration déguisée et crêpes.

Des nouvelles bientôt sur ce blog ...
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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 19:01

Le jeudi 22 janvier dernier, Freaks avait annoncé sur son blog un stage de sa nouvelle discipline de prédilection.
Nous nous rendîmes donc dans le 18ème arrdt, dans le do-jang de M. Carron, qui organisait un stage d'initiation. Une classe nombreuse de pratiquants de Taekwondo, 3 élèves de Haidongumdo, dont Freaks, à la pâleur resplandissante et si caractéristique, et une de Soo Bahk Do, mimiche.
 Maître Capozzi, Responsable en France de l'art martial, nous fit pratiquer les bases du sabre coréen, en insistant sur l'exigeance de discipline indispensable (ah, les remarques sympathiques aux adolescents pour qu'ils fassent l'effort de se tenir droit, la plus caractéristique étant d'un effet comique assez redoutable, en même temps que plutôt génante pour les personne visées :" t'es pas chez mémé" ! ce qui m'a d'ailleurs fait me demander personnellement si je me tenais particulièrement mal quand je vais manger chez ma grand-mère).
Question discipline, j'ai bien senti que le Haidong et le Soo Bahk étaient du même côté. 
De temps à autre, je pensais à Toshiro Mifune dans le prologue du beau film Rebellion. C'est là que j'ai appris quelques petits trucs, qui font que, même si je n'y connais profondément rien, je n'ai pas l'impression d'être absolument ignorante en sabre. Surtout au niveau des petits pas, dans la paille, délicatement bruités (j'y suis, ma connaissance du sabre, c'est la mémoire de ce bruitage si carctéristique!)
Quoi qu'il en soit, en 3 ou 4 conseils, j'eus l'occasion d'entendre des choses très sensées de la bouche de Maître Capozzi. Merci à lui, pour sa patience, et à M. Carron d'avoir organisé ce stage où l'on sentait que le véritable esprit des arts martiaux, au delà des disciplines et des chapelles, c'est le respect mutuel.
Et longue vie à l'enseignement de Freaks ...

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 17:09
Du mois d'octobre à décembre derniers, l'Association Shiwol a proposé aux élèves de l'Ecole de théâtre O clair de la lune un atelier d'initiation au Soo Bahk Do.

Un lundi soir comme les autres, Martine arrive tout sourire pour l'atelier "Corps en mouvement" Jeune retraîtée, elle a décidé de suivre à Paris les cours de l'Ecole O clair de la lune, bien qu'habitant en lointaine banlieue.
Martine, c'est l'incarnation de Neh Gung Weh Yu, devise chère à notre école Moo Duk Kwan : être doux à l'extérieur, dur à l'intérieur. Il lui faut cette volonté là : Martine est en fauteuil. C'est sans doute cette situation qui lui a donné la patience à toute épreuve qui la caractérise.

Ce qui frappe dans le groupe que j'encadre, c'est d'abord une mixité réussie. Il y a là un mélange de générations, de situations ; des élèves valides, d'autres ayant un handicap visible. Dans la pratique, cela finit par s'égaliser. Une grande timidité pour un apprenti comédien, c'est quelque chose avec quoi il doit composer, tout comme celui qui ne peut pas utiliser sa main droite devra développer une dextérité particulière avec sa main gauche. Nous sommes au coeur des arts martiaux et de ses légendes : le héros manchot invincible, l'idiot du village par lequel la justice arrive, l'orgueil du guerrier qui finit par le perdre. Polir la matière dans laquelle chacun est fait, en dessiner les lignes, donner forme à ce que chacun est, dans la fond. N'importe quelle école digne de ce nom doit donner l'occasion à ses élèves, à ses étudiants, de travailler à cela. Avoir un corps, au départ, moins apte que les autres, n'empêche rien. Si l'on pense à la performance physique pure, alors oui, on verra l'invalidité comme une entrave. Mais quant à développer ce que l'on est, qui est le véritable enjeu de l'art martial, alors l'horizon se dégage ; pour tout un chacun, jeune, vieux, avec ou sans rhumatisme, névrosé, hystérique, d'ici ou d'ailleurs etc, pour tous et pour chacun, dans l'art martial, tout est constructible. A condition bien sûr que les Etats ne criminalisent pas à tout bout de champ, ce qui n'est pas conforme à leur conception de la normalité (on reconnaîtra ... qui on reconnaîtra).


Quelques-uns des élèves ayant participé à notre atelier prennent la pose

Dans notre atelier d'une dizaine de séances, nous avons travaillé les techniques de base, et assez rapidement, la confrontation : que faire avec le corps hostile de l'autre ? Il soo sik et ho sin sool fut la réponse que nous avons proposée.

Enfin, il y eu pour finir l'examen où chacun montra ce qu'il avait appris, dans notre atelier en binôme. Comme les épreuves de l'examen étaient variées, j'eus l'occasion de voir les élèves dans des improvisation théâtrales inattendues. Et je les découvris alors, comme je ne les avais pas encore vus.


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29 décembre 2008 1 29 /12 /décembre /2008 21:24


Le samedi 20 décembre dernier s'est déroulé le premier championnat de Shiwol do-jang.

- La première épreuve consistait à ... être présent, puisque, du fait de la semaine scolaire sur 4 jours, les enfants étaient en vacances depuis la veille. Une grande partie des élèves était dans un avion, en route pour l'Amérique du Sud, l'Allemagne, ou d'autres destinations exotiques, certains plus classiquement, avec leur famille, auprès de leurs grands-parents etc.
- La seconde épreuve, c'était d'arriver à l'heure : 13h, heure à laquelle tout parisien qui se respecte songe seulement à se mettre à table (et non pas à "amener-après-les-avoir-fait-manger-les-enfants-à-la-compétition-de-Soo-Bahk-Do"), a fortiori quand lesdits enfants sont en vacances. Bravo donc aux parents qui y parvinrent, et félicitations aux enfants qui, arrivés en retard, firent de leur mieux pour rattrapper le temps perdu (dont on ne peut jamais que partir à la recherche, très improbablement le rattrapper).
- La troisième épreuve, et nous rentrons dans le vif du sujet, c'était  pour les enfants, de risquer de se tromper, et de ne pas trop s'en attrister si d'aventure cela arrivait. 
 
Le championnat en lui-même se partageait en deux épreuves :
*Pour les plus gradés, une forme, librement choisie, à effectuer et une casse, elle aussi librement choisie, pourvue qu'elle ait été pratiquée avant.
*Pour les ceintures blanches ne connaissant pas encore de forme, il s'agissait de réaliser les mouvements de base annoncés à haute voix, puis dans un second temps, des coups de pieds de base, eux aussi annoncés, sans se tromper. 
Agnès, 2ème gup et Rachel, 7ème gup étaient juges et donnaient les notes. Souvent d'accord, toujours équitables.


Un total était ensuite calculé, et un classement établi en fonction des totaux les plus élevés.
A ce petit jeu, ce sont les frères Zheng qui se montrèrent les plus performants. Dans la catégorie des ceintures orange, Thierry, et dans la catégorie des ceintures blanches, Aymeric. Ce sont eux qui étaient arrivés les premiers, avant tout le monde, et essayaient de se remémorer leur programme. Ils vinrent seuls, comme c'est désormais toujours le cas, avec leur do-bok sous le pantalon, façon on ne peut plus convaincante de se tenir toujours prêts. Ils sont repartis avec une raquette chacun, et une médaille.

Les résultats furent serrés, et l'on remarqua que certains enfants avaient déjà de très belles techniques pour leur âge/leur niveau.

Enfin, nous voulions particulièrement encourager Louis N., qui,5ans, qui pratique dans le 5ème arrdt ; il vient de commencer (il n'a que 3 mois de pratique) et s'est frottaéà des enfants bien plus âgés et expérimentés que lui.


Merci à tous les participants :
Joseph, Numa, Arthur, Matteo, Thierry, Aymeric, Alexandre, Marec, Noé, Louis, Lucien,
et à leurs parents !

Classement :
CEINTURE ORANGE
1. Thierry ZHENG
2. Arthur BARRIER
3. Marec SALEM

CEINTURE BLANCHE
1. Aymeric ZHENG
2. Alexandre PAYEN
3. ex-aequo Lucien CHAUDRON/Joseph VILLEPREUX


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29 décembre 2008 1 29 /12 /décembre /2008 21:17

Est-ce un cadeau du Père Noël, qui, comme chacun le sait, est américain ?
Quoi qu'il en soit, découvrez la nouvelle page du site de la World Moo Duk Kwan traduite en français :
http://worldmoodukkwan.com/index.php?option=com_content&task=view&id=21&Itemid=30

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29 décembre 2008 1 29 /12 /décembre /2008 19:22


Le mercredi 17 décembre, à 15h, le groupe des 4 ans laissa la place, pleine de miettes labourieusement balayées, à leurs aînés, le groupe des 5 ans, le plus souvent, en grande section de maternelle. On ne sait pas encore lire à cet âge, ou alors exceptionnellement, mais alors, quelle imagination débordante ! Noé, Adriano, Jules, Basile, Gabriel, Nathan, Maxime, Matteo, Hippolyte, Numa, Adam, Thomas et Daris étaient en tout cas prêts à en découdre avec eux-mêmes.
Le test était plus complexe, les enfants prenaient cela très au sérieux. Le public aussi ; entre les efforts des enfants, les émotions des parents, et les flash des photographes, la pièce fut bientôt en surchauffe. De la buée ne tarda pas à apparaître sur les vitres. C'était la tentation inattendue à laquelle il s'agissait de résister : comment faire pour s'empêcher d'aller dessiner sur les fenêtres à travers lesquelles on ne voyait plus, tout ce qui traverse l'esprit ?
Quoi qu'il en soit, le plus dur est à venir puisque nous allons nous lancer, dès la rentrée, dans l'apprentissage de la première forme, Kicho Hyung Il Bo (Ta tin tin!)

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